AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

Partagez
 

 innocence lost

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Mortel ✗ Please don't hurt me
Jaelyn Keynes

Jaelyn Keynes
« Mortel ✗ Please don't hurt me »

messages d'Iris : 52
revenu sur terre le : 08/04/2013



innocence lost Empty
MessageSujet: innocence lost   innocence lost EmptyVen 12 Avr - 20:29

    innocence lost Tumblr_mk91o1EgmO1rgw365o1_500
    Il me faisait plus que plaisir de bosser, histoire de me sortir de la tête ces deux dernières semaines folles où je vaquais à mon occupation favorite de me damner pour ce connard de conservateur, ce bellâtre à deux balles qui piaille en alexandrins. Le sortir, l'expulser de mon système à grands renforts de traits de crayon, dressant des ébauches sublimes de projets qui m'ont été confié par Bane, le propriétaire du salon. Il aurait pu faire travailler de ces mecs qui se bousculent pour venir profiter de son expérience, de venir trimballer leurs grands airs et d'attirer les minettes dans la rue pour venir se faire encrer la chair, mais non. Bane m'avait recruté là, à l'ombre de l'arc de triomphe où j'ai l'habitude d'aller dessiner. Un homme exceptionnel, doté d'un sens de l'observation aiguisé et qui m'avait donné une chance de me faire suffisamment de thunes pour pouvoir gérer les beaux-arts. J'adore bosser ici, l'ambiance cigar room des années cinquante me sied à merveille, mais j'aspirais à plus, à prouver à ces moins que rien de géniteurs que je peux me sortir de ma merde, de ne pas rester rednecks comme eux l'ont été, se défonçant et se bourrant la gueule plutôt qu'élever leurs gosses. Ça, Bane le comprend, et cet homme qui m'était inconnu il y a deux ans est devenu sans l'ombre d'un doute le père que je n'ai jamais eu, les bras plus tatoués encore que les punks qui fréquentent la racaille du Bronx. Sa barbe poivre sel, sa coupe de cheveux de la vieille école, lui qui se rend chez le barbier encore une fois par semaine. Un homme d'une trempe dont il ne s'en fait plus, ou putain, singulièrement pas assez « J'ai terminé l'esquisse de la demoiselle de 19 heures, t'en pense quoi? ». Comme une gosse, je recherche son approbation, et même si je me refuse à dépendre de lui, je voue à son avis et à son opinion bien plus d'importance que je ne me l'avouerai jamais. Il pose une paume sur mon épaule, une main immense qui recouvre tout sur son passage, et la serre au passage. Il ne parle pas beaucoup, mais se fait comprendre. Je l'entends marmonner un truc dans le genre « Sympa, gamine ». Je souris pour moi-même, lève la tête pour découvrir que les heures passent beaucoup trop vite. Je sors m'en griller une que la demoiselle en question, Malin, débarque au loin, affublé de...

    Dans les salles de bain tout simplement immonde de l'immense studio dans lequel je me trouve, je me fais descendre un comprimé avec une bière, jetant un coup d'oeil à mon reflet dans le miroir crasseux. Quelle idée de me fier à mon psychotique colocataire et débarquer dans une fête monstrueuse où s'enfile de l'ecstasy et de la cocaïne dans tous les coins? Dans deux heures, ce sera simplement l'enfer, les mecs bourrés vont se foutre en l'air et se battre comme des coqs, ou encore cogner de la femme ou les entraîner dans la pénombre pour les soumettre à leurs caprices. Je passe la main dans mes cheveux, replace mon bustier, enduit sur mes lèvres un rouge écarlate avant d'aller répondre aux coups de poing qu'on fout sur la porte des WC. C'est en entendant une femme me traiter de connasse que je me retrouve à me faufiler jusqu'à ce qui semblait être une cuisine. Je me faufile sur le balcon exigu et m'allume une cigarette. Je me savais pas agoraphobe, mais cette masse de personnes sous influence ou tout simplement trop conne pour la ligue me donne envie de lever le camp. Mais l'est pas minuit, et je suis pas Cendrillon et rien de mieux à foutre. Je me tape donc une alternance de bière et de touche de clope en solo jusqu'à ce que la porte s'ouvre derrière moi, m'obligeant à user de prouesses pour permettre à l'autre de se faufiler à son tour. « Le karma est bien vache de nous imposer ça de nouveau, vraiment » que je lâche en lui adressant un sourire. Je coince la cigarette entre mes lèvres, appose mes avant-bras sur la rambarde. Après l'évènement du shop, c'est carrément risible de se retrouver brader à devoir faire causette une fois de plus...
Revenir en haut Aller en bas
Dieu ✗ Master of the house
Thanatos Hayes

Thanatos Hayes
« Dieu ✗ Master of the house »

messages d'Iris : 54
revenu sur terre le : 06/04/2013



“ RELATIONSHIPS ”
☏ phone contacts:

innocence lost Empty
MessageSujet: Re: innocence lost   innocence lost EmptyVen 12 Avr - 23:25

innocence lost Tumblr_ma84tbDTnh1r9d2huo1_400
« Allez, fais pas chier, viens. » Par Nyx, une mortelle aussi chiante ne devrait pas exister. Sans blagues. Puis certainement qu’elle avait une mémoire sélective ou alors elle n’était vraiment rancunière, puisque même pas la semaine dernière, je l’ai rejeté et elle a franchi la porte de l’appartement d’un pas plutôt énervé. Sauf que le lendemain, elle était déjà revenue et m’emmerder déjà de nouveau. J’aurais certainement été beaucoup plus tranquille si j’étais encore en Enfers. Surtout qu’en général, pas grand monde n’ose m’approcher, puisque j’suis censé être un Dieu aux tendances légèrement psychopathes. Personnellement, j’le vis assez bien. Et de toute façon, si mes frères et sœurs venaient me voir pour du réconfort pour quelque chose de triste, ça me ferait pratiquement rien et j’m’y prendrais comme un con sachant que j’sais vraiment pas y faire. Mais c’est pas la question. Malin, la mortelle emmerdante que j’aurais préféré laisser à Anderson, veut que je l’accompagne parce qu’elle veut se faire tatouer : c’est-à-dire se faire dessiner des motifs bizarres, mais sur la peau. A croire que les mortels sont vraiment à côté de la plaque. Elle continue d’insiste et j’pense que si elle pouvait faire comme les enfants chiants dans la rue à se rouler sur le sol, elle le ferait. « C’EST BON. Lâche-moi maintenant. » Pire que Morphée. Et voilà comment on se retrouve dehors à marcher vers un tatoueur parce qu’elle veut se faire tatouer je-ne-sais-quoi, pour j’sais pas quelle raison qu’elle m’a donné, parce que j’écoutais pas. Faut dire que j’écoute rarement les informations qui m’intéressent pas. Même quand ces informations viennent de l’humaine favorite de mon hôte. La surexcitation qu’elle ressent pourrait presque se transférer chez moi, si j’étais pas autant blasé de la situation. J’préférerais même que Lyssa me prenne dans ses bras plutôt que d’être là. J’fronce les sourcils en observant l’humaine qui va sans doute tatouer Malin, parce qu’une impression de déjà-vu m’envahit, sauf que j’pourrais pas dire d’où. Certainement Anderson qui a encore fait des siennes, mais… Je me racle la gorge alors que des images particulièrement sexuelles m’envahissent la tête. Anderson a donc couché avec elle. Dans des toilettes. Et apparemment bourré. J’proposerais bien à Malin de l’attendre dehors sauf qu’elle serait capable de me faire un scandale et d’attirer l’attention de tout le monde sur nous, ce qui ne m’enchanterait pas plus que ça. Alors j’entre, ne pouvait pas m’empêcher de dévisager la blonde de haut en bas alors qu’elle discute avec ma pseudo-meilleure amie. Sauf que dans ma tête, elle a beaucoup moins de vêtements. Merde alors, Anderson était vraiment un enfoiré…

Pourquoi ? Pourquoi est-ce que j’ai dit oui à Malin pour me ramener dans ce foutu endroit où on est serrés comme des sardines, où tout le monde colle tout le monde et où tout le monde est bourré. J’en ai marre et j’trouve pas la sortie. L’envie de tous les tuer est vraiment tentante, mais… j’peux pas. Trop de gens d’un coup, ça paraitrait suspect. Peut-être que j’devrais appeler Hypnos pour qu’il les endorme tous et j’pourrais enfin dégager de cette pièce trop serrée. Mais non. J’vais juste trouver un autre endroit pour être tranquille, parce que j’ai beau avoir envie de tuer Malin la plupart du temps, j’la laisserais pas rentrer toute seule alors qu’elle sera surement complètement saoule. Surtout que bizarrement c’est toujours moi qu’elle appelle. J’devrais peut-être lui dire que son meilleur ami est mort, mais elle comprendrait pas. Et le Zeus serait pas content. Quoi que j’en ai pas grand-chose à faire, de lui. Et de pas grand monde d’ailleurs. J’ouvre une porte entre, bois une gorgée du truc que j’ai à la main qui a un gout absolument dégueulasse et… oh. Deux fois. Dans la même journée. Le monde des mortels est franchement petit quand même. Faut dire que normalement, je croise plutôt des gens morts, alors bon, j’ai pas toujours pas vraiment l’habitude. Surtout que les gens normaux que je croise ici, j’les connais pas. Enfin si. Mais non. C’est juste des souvenirs et avec elle, c’est plutôt vraiment QUE des images. « Le karma est bien vache de nous imposer ça de nouveau, vraiment » Je l’observe un moment et me dis que ouais, j’sais pas si j’suis vraiment chanceux. Surtout que les images me reviennent une nouvelle fois en tête et j’me dis que j’suis vraiment mal barré. J’termine le verre d’une traite et me dis qu’il vaudrait mieux pour moi que les réflexes de mon hôte mort devraient m’aider, comme ils le font toujours dans ce genre de situations. « Peut-être que tu me suis. » Que j’lui réponds, préférant au final m’amuser de la situation plutôt qu’avoir envie de sauter par la fenêtre, parce que j’suis excité et que j’imagine que le meilleur moyen de le cacher est en s’amusant de la situation…
Revenir en haut Aller en bas
Mortel ✗ Please don't hurt me
Jaelyn Keynes

Jaelyn Keynes
« Mortel ✗ Please don't hurt me »

messages d'Iris : 52
revenu sur terre le : 08/04/2013



innocence lost Empty
MessageSujet: Re: innocence lost   innocence lost EmptySam 13 Avr - 3:50

Ça me semblait être dans une autre vie cette soirée où j'avais foutu en l'air une paire de shorty que j'appréciais de façon inconditionnelle en posant mon divin postérieur sur le comptoir de chiottes particulièrement insalubres en compagnie de Anderson. D'ailleurs, c'est tout ce que j'avais eu à savoir de lui, qu'il était beau à en damner dans son genre et son prénom. Rien de plus, ça avait suffit à le laisser prendre place entre mes cuisses. Oh, je prétends pas être un ange, loin de là, mais putain, ça dépasse quand même ces limites que je m'impose faute de quoi je fais un énormissime n'importe quoi. Le voir débarquer avec une minette tout particulièrement friande d'ouvrir grand la gueule à chaque dixième de secondes, c'était plutôt ironique. C'est tout juste si j'avais échangé deux, voire même trois phrases avec ce type avant de me le faire dans des WC. D'abord troublée, la grande gueule de la dénommée Milan avait eu raison de tout le reste, oubliant le regard étrange que son pote me lançait. Je pris près de deux heures à tracer les premières ébauches dans sa chair, les lignes de contour et dessinant un brin d'ombrage. Le résultat donnait franchement bien, comme premier tatouage le projet était ambitieux, mais elle s'était montrée nettement tolérante à la douleur des aiguilles important l'encre dans la chair. Sans doute par soucis de ne pas être cataloguer par l'autre comme une braillarde, je sais pas. À deux, voire trois reprises, j'ai croisé son regard d'un bleu tellement brillant qu'on s'y perd sans pouvoir prévenir. Un regard interrogateur, bizarre, soucieux. Si son faciès était de marbre, ses yeux, eux, parlait pour lui de cette conversation que, visiblement, Anderson n'a pas.

Le bustier parvient à peine à tenir en place tant l'humidité faisait des ravages en faisant perler des fines gouttelettes sur ma peau, sans parler de la chaleur émanant de l'intérieur. C'était tout simplement masochiste de rester en place, entouré de ces inconnus déchirés comme pas permis suant à grosses gouttes, eux aussi. Heureusement, la cigarette me maintenait à flot, chaque inhalation calmant ma respiration qui me semble défaillante. Putain, c'est pas le moment pour que je me coltine une crise d'anxiété ou encore d'asthme. Je respire doucement, ferme les yeux, inspire, expire, inspire et expire de nouveau, reprenant le contrôle sur cette humidité lassante et désagréable. Mon regard se pose finalement au creux du sien, envoûtant, alors qu'il nous lâche un petit mot d'esprit digne des grands de ce monde. Non vraiment, sans blague? J'arque le sourcil, amusée, me demandant s'il a vraiment laisser glisser de ses lèvres une réplique béton dans le genre. Certes, je sais sa bouche plus douée à faire autre chose que de briller par son intelligence ou son sens de la répartie. Enfin, pour ce que j'en sais « J'ai pas habitude de traquer un mec avec qui j'ai baisé des mois plus tard, c'est que je me suis pas levée ce matin avec l'envie soudaine et irrépressible de te chercher dans la ville de Manhattan ». Je prends une taffe de ma cigarette, la lui tend, démontrant un peu de politesse. Vaut mieux tard que jamais. Non vraiment, je suis pas tellement du genre à remettre le couvert avec un coup d'un soir, c'est pas qu'il soit moche, mais ça évite de faire des conneries dans le genre de l'autre poète maudit « Puis remettre le couvert ici, ce serait de la grossière indécence ». Je rigole doucement, rien qu'en imaginant me faire plaquer contre la porte coulissante ou encore sur le garde-fou et prendre par... putain. Faut absolument pas que je songe et mentionne un truc de ce genre-là alors que je plane doucement sur de l'ecstasy. J'aurais du me rappeler que ce foutu comprimé me file une envie irrépressible de m'envoyer en l'air « Désolé pour ça, semblerait que le fait que tu lâches pas des yeux mon décolleté me foute les hormones en vrac ». Certes, il glisse, découvre plus qu'il n'en faut la poitrine menue qui est mienne, mais semblerait qu'il soit lui-même à cran, on lui a peut-être filer les mêmes cachets que moi, qui sait? Ça risque de devenir rapidement chaud-cacao si c'est le cas...
Revenir en haut Aller en bas
Dieu ✗ Master of the house
Thanatos Hayes

Thanatos Hayes
« Dieu ✗ Master of the house »

messages d'Iris : 54
revenu sur terre le : 06/04/2013



“ RELATIONSHIPS ”
☏ phone contacts:

innocence lost Empty
MessageSujet: Re: innocence lost   innocence lost EmptySam 13 Avr - 22:53

Parler aux gens n’a jamais été mon fort, j’imagine que ça fait un point commun avec mon hôte puisque de ce que je sais de lui, il n’était pas bavard, ni franchement affectueux envers ses proches. Même Malin, j’me demande comment il réussissait à être aussi proche d’elle en connaissant leurs caractères diamétralement opposés. Certainement que ça aide, dans certaines situations, d’avoir un moulin à parole qui fait la conversation aux gens à votre place. En tout cas, ça pourra pas me faire de mal à moi. Et pendant qu’elle se fait tatouer, j’observe la blonde comme si j’essayais de répondre à une énigme mentale. Sauf que j’vois pas vraiment pourquoi je me pose des questions, sachant la situation. Jaelyn. C’était son prénom. Mon regard se pose sur l’aiguille et le motif qui prend forme. Je fronce les sourcils, intrigué. Le système du tatouage est quelque chose que j’ai toujours pas très bien compris dans le sens où, ouais, j’trouve ça bizarre. Mais la tatoueuse en a sur les bras et j’sais qu’elle en a un sur la cuisse gauche et d’autres. Ils lui vont bien. Mais faudrait peut-être que j’arrête de la voir nue, puisqu’elle est totalement habillée et en train de travailler. Puis y a Malin qui sort une connerie ou deux parfois, auxquelles j’fais pas attention et quand j’détourne enfin le regard vers elle, elle me répond avec un regard noir. Certainement que ça l’agace que j’observe autant la blonde, alors que j’suis pas réellement censé l’avoir déjà vu. Sauf que si. Je l’ai déjà vu. Enfin je, plutôt mon hôte. Et il l’a bien vu, on ne peut pas dire le contraire. Autrement dit, comment me retrouver dans une situation pourri à cause d’un mortel à deux balles.

Deux fois dans la même journée, quand même, c’est rude. Encore une fois, j’peux pas m’empêcher de la fixer et j’ai l’impression d’être un de ces humains de douze ans qui se retrouve en perpétuel manque de sexe. Ça doit être dû au fait que j’sois dans le corps d’Anderson et que mon cerveau se retrouve à penser différemment que d’habitude. Le fait que Jaelyn soit attirante comme pas deux doit aussi empirer la situation, puisque normalement, j’vois plus souvent des cadavres que des gens dans un état normal. Ou vivants juste. Au moins, la blonde ne crie pas tout le temps, pour tout et n’importe quoi. Si c’était le cas, j’pense bien que j’serais sorti parce que j’ai assez de Malin pour ça. J’l’observe répondre à ma remarque et plus les secondes passent et plus j’tente de me mettre plus à l’aise dans ce maudit jean. Clairement, j’déteste les humains et leurs envies qui surgissent n’importe quand envers n’importe qui. Là, tout de suite, c’est Jaelyn qui me fait envie, sauf que j’suis pas un animal, donc j’vais devoir retenir les réflexes que pourrait me refiler mon hôte, et surtout les souvenirs qui sont restés. J’attrape la cigarette qu’elle me tend, tire une longue taffe et la lui redonne. La manie de fumer aussi, j’la tiens de ce con d’Anderson. Putain celui-là, si j’le croise en Enfers, j’demanderai aux Kères de le castrer. Ce qu’elle ajoute me fait légèrement sourire. Mais d’un autre côté, ça me dérangerait pas plus que ça, parce que j’dois avouer que j’ai beau lutter contre moi-même, ça devient quand même de plus en plus dur. Mais j’suis pas un de ces humains de douze ans, alors j’devrais réussir à tenir. Sa remarque finale me force à me rendre compte que je fixe peut-être un peu trop certaines parties de son corps qui sont, selon moi, forts attrayantes. J’relève les yeux vers elle, croise son regard et le tourne sur le côté pendant un instant. « Désolé. C’est-à-dire que l’ambiance du moment me rappelle des souvenirs… assez agréables d’ailleurs. » Bravo, Thanatos, bravo. J’dois dire que là, on remarque bien que faire la discussion n’est VRAIMENT pas dans mes attributs. Faudrait peut-être que j’aille me plaindre à Nyx. J’me dis que prendre l’air sur le balcon me ferait pas de mal sachant que je commence à étouffer dans c’te pièce à cause de la chaleur, d’elle et de toutes les boissons aux goûts acides que j’ai bu. Et vu la petitesse de la pièce, j’suis obligé de la frôler pour pouvoir accéder aux balcons. Personnellement, ça me dérange pas tellement de la frôler, mais c’est simplement que ça aide vraiment pas mon cas ce qui se trouve dans mon caleçon. Finalement, peut-être que j’devrais partir si j’veux éviter de lui sauter dessus…
Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé
« »



innocence lost Empty
MessageSujet: Re: innocence lost   innocence lost Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

innocence lost

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
OLYMPUS TRAGEDY :: City of New York :: Bronx :: Quartier Italien-