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 (epialès) + même le lilas blanc possède une ombre.

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Epialès N. Lewis

Epialès N. Lewis
« Noob ✗ c'est quoi une vie sociale »

messages d'Iris : 9
revenu sur terre le : 25/04/2013



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MessageSujet: (epialès) + même le lilas blanc possède une ombre.    (epialès) + même le lilas blanc possède une ombre.  EmptyVen 26 Avr - 5:19


« EPIALÈS NATHANAËL LEWIS »
il existe une ombre pour chacune des lumières qui nous guident
© rose noire ft tyler hoechlin

Je m'appelle Epialès et je dois avoir à mon actif donner un nombre de millénaires au hasard pour son âge, au moins 2000 années de service à notre très chère planète. Mes attributs sont les cauchemars, . Je suis arrivé(e) sur terre il y a un mois, et faire son boulot sous enveloppe humaine était beaucoup plus encombrant. Je suis célibataire et c'est tant mieux ! Sinon, vous me trouverez très protecteur + taquin + rêveur + joueur + calme + réfléchit + stratégique + doux + ambitieux + charmant + combatif + déterminé + inventif + spontané + joueur , bien que certaines personnes me reprochent d'être mesquin + impulsif + blessant + sadique + têtu + obstiné + jaloux + possessif + sournois + calculateur + borné + inaccessible + suspicieux + maladroit + méfiant. Mes pouvoirs, j'ai tendance à les mettre en avant et j'avouerais que les mortels sont d'un ennuie déconcertant avec leurs problèmes. Pour m'intégrer, j'ai décidé de devenir Mécanicien. Sinon, on m'a dit que je ressemblais à Tyler Hoechlin, et en apparence, j'ai vingt-trois ans. Je fais partie Θεός (epialès) + même le lilas blanc possède une ombre.  685421152 Des Dieu pour sa majesté.

➝ BECAUSE I KNEW YOU
Nathanaël Lewis fut son nom + Vingt-trois ans fut l'âge qu'il atteint + Américain + Né en Californie + Le jour de son anniversaire est le treize janvier + A vécu tous le début de son enfance chez sa mère + Sa mère perdu la vie alors qu'il n'avait que dix ans + fut ensuite envoyé chez son père, un alcoolique au penchant violent + le reste de son enfance fut sans vie, parsemé de violence et de cris + N'a jamais eu de relation stable + Après l'eau, il vénérait le whisky + Tomba dans la drogue, l'alcool et la luxure jeune + Possède de nombreuses cicatrices sur le corps, surtout une, profonde, au niveau de son rein gauche, faite par la ceinture de son père un jour + A aussi un tatouage de requin nageant sur ses côtes droites + Avait tendance à embellir sa vie dans de faux fantasmes+ Fut engagé comme mécanicien à son arrivé à New York + Ne peut pas conduire sa voiture sans un fond de bonne musique dedans + Adore la mécanique, répare lui-même sa voiture + Cette dernière est tout simplement son bébé, son amour, la chose la plus précieuse que possédait Nathanaël + Cette même voiture est une camaro ss 1969 blanche + N'était pas croyant, plutôt pencher sur des théories scientifique que mythologique + Était hanté par des cauchemars depuis le jour où il avait compris que sa maman ne reviendrait plus.

➝ STORY OF MY LIFE
Avoir le mauvais rôle. Ne rien demander et se faire rejeter quand même. Toujours être gentil et ne pas avoir de retour positif. C’était son habitude. En même temps, qui voudrait d’un dieu des cauchemars. Le mauvais rôle, qui le voudrait ? Pourtant, Epialès n’a rien demandé. Il n’a pas demandé le mauvais rôle. La vie peut être injuste, même pour un dieu. Mais il peut arriver qu’une chose inattendue s’offre à nous et nous permette de se relever. Epialès à eut cette chance exceptionnelle et est bien prêt à en profiter.

« Pourquoi ? » Dit le jeune dieu, se tournant vers sa mère qui était à quelques pas de lui, se coiffant les cheveux soigneusement. Elle interrompit son geste et se tourna vers celui lui. « Pourquoi quoi mon enfant ? » Répondit-elle avec douceur. Epialès ramenait ses jambes à son torse pour les encercler de ses bras. Il ressemblait à un enfant qui réfléchissait à son avenir incertain. Mais lui, il connaissait son avenir. Il réfléchissait à autre chose. « Pourquoi endormir les mortels ? Ils sont si faibles ? » Nyx, sa mère, déesse de la nuit, eut un fin sourire avant de l’accueillir dans ses bras. Elle le gronda gentiment, le réprimandant de dire du mal des mortels qu’ils protégeaient avant de lui expliquer pourquoi les mortels avaient besoin de dormir et quel était son rôle dans leurs vies. Epialès comprit. Il était là pour leur faire peur. Leur faire remonter leurs plus grandes peurs lors de rêves. L’antonyme d’un rêve, voilà ce qu’il représentait. Et franchement, il adorait sa tâche. Découvrir les plus grandes craintes de chacun pour les retourner contre eux était fascinant pour lui. Alors chaque soirs, il descendait sur Terre et laissait étendre ses pouvoirs autour de lui. Cette impression de puissance, de contrôler tous les mortels. Mais il n’avait jamais le temps de profiter de cette impression plaisante, il avait à faire. Alors Epialès se faisait une liste dans sa tête des personnes à aller voir. Il ne pouvait pas passer partout. La nuit était si courte et il lui manquait du temps.

Il était là. Sage dans ses couvertures de fortune. Epialès pouvait entrevoir le thorax du mortel se soulever et s’abaisser lentement, en parfaite harmonie avec sa respiration reposante. Ce moment où les mortels dormaient, rêvaient sûrement d’une chose merveilleuse. Ce moment où il allait tout gâcher. Cette nouvelle impression de puissance qu’il pouvait cette fois-ci savourer longuement. Car là c’est lui qui contrôlait la durée de leurs sommeils. Reprenant contenance sur le contrôle de ses songes, il prend son temps pour se pencher au-dessus du corps endormis. Se soumettant à une loi plus qu’amusante pour lui, il se permet même de s’installer à leurs côtés. Et ce mortel-là ne fait pas exception de cette règle. Epialès n’a jamais su si les humains pouvaient le voir car à chacune de ses visites, ils dormaient. Effleurant la joue du mortel de ses lèvres immatériels, il prit un instant avant de commencer ce pourquoi il était là. Cet instant où il découvrait les angoisses les plus profondes de sa victime. Cet instant où il restait pensif, se demandant s’il devait vraiment faire passer une mauvaise nuit au mortel. Mais finalement, à chaque fois, l’envie de le voir s’agiter dans ses draps était trop forte. Et puis, il était né pour ça. Alors Epialès inspire juste un peu et souffle délicatement l’air dans ses poumons. Ce souffle est comme une caresse sur la peau des mortels. Caresse meurtrière. Cauchemars angoissant. Mortel en souffrance. Il se laissait une minute pour observer son œuvre avant de partir vers sa nouvelle mission. C’était parfait pour lui. Pas de question à se poser. Juste agir. Agir comme bon lui semble.

« Encore une fois, tu salis notre travail Epialès ! » La voix stridente de son frère le faisait encore plus enrager. A croire qu’Icélus avait le don de l’énerver rien qu’en ouvrant sa bouche. Mais cela ne changeait rien au problème. Il en avait marre d’avoir ce mauvais rôle. D’être pointé ainsi du doigt. Les cauchemars n’étaient pas que des choses mal. Certains mortels pouvaient comprendre leurs erreurs grâce à ses cauchemars. Et puis un peu de peur était normal chez un humain. Il contribuait au bon fonctionnement de l’humanité et personne ne comprenait ça. Serrant les poings, il se retenait de tuer ici et maintenant son frère qui ne comprenait rien à rien. « Tu ne comprends pas Icélus. Tu n’as jamais compris ! Je les aide, comprend le !! » Le ton de sa voix était grave mais il cherchait à se faire conciliant malgré tout. Mais son frère ne fut pas cela. Il n’entendit que ses mots qui le firent enrager encore plus. Encore une fois, Epialès et Icélus se battait. Car ils ne se comprenaient pas. Car ils voulaient tous deux la gloire. Car ils voulaient tous les deux le même rôle. Car ils ne s’aimaient pas. Ils étaient deux ennemis et non deux frères. Les deux dieux se jugèrent du regard, attendant que l’autre baisse les yeux mais l’un comme l’autre avec une détermination à toute épreuve. « Dégage de mon chemin Epialès. Je ne veux pas t’avoir sur mon chemin. La prochaine fois que je te vois, je te tue de mes propres mains. Tu l’entends mon frère ? » Il avait craché ce dernier mot avec tant de rage et de haine que Phantasus recula d’un pas, ne supportant pas du tout ces disputes. Epialès lui envoyait un regard noir alors qu’il esquivait un autre pas vers son frère dans une attitude menaçante. « Sois-sur mon chemin et je te promet que je deviendrais ton pire cauchemars. » Il ne l’aimait pas. Il le détestait. Il ne voulait plus de lui comme frère. Les deux autres frères, Phantasus et Morphée assistait comme toujours au combat que se livrait les deux frères ennemis, interdit sur le comportement à avoir. Au final, ce fut Morphée qui décidait de faire le premier pas, levant les mains en signe d’exaspération, il leur dit : « Vous êtes vraiment insupportable. Allez vous battre ailleurs, loin de ce mortel ! » Epialès ne discutait pas plus que cela et partit ailleurs.

« Nate. Nate ! Bouge-toi les fesses ! Y’a un client pour toi. » Cette voix agaçante, il était presque sûr que c’était celle d’Icélus. Il allait le tuer un jour, il s’en faisait la promesse. Sauf qu’après réflexion, cette voix n’était pas du tout celle de son frère. Elle était plus bourru et deux timbres plus grave. Epialès essaie d’ouvrir les yeux mais les referme aussitôt, la lumière agressant du soleil lui brûle la rétine. Le soleil ? Il porte sa main à ses yeux pour les rouvrir plus lentement et observe son environnement. Une odeur très désagréable attaquait ses facteurs olfactifs. Ses oreilles bourgeonnaient, lui faisant perdre la notion du nord et du sud. « Nate, sérieux ! Tu dors ou quoi ?! » Le Dieu voulu parler, le griller sur place, faire quelque chose pour être débarrasser de ses sensations dérangeantes mais lorsqu’il ouvrit la bouche, ce n’est qu’un gémissement qui en sortit. Brusquement, un nom simiça dans son esprit, clair et net comme s’il avait toujours été ici. Nathanaël. Ce mortel s’adressait donc à lui. Se redressant doucement mais sûrement, Epialès dévisageait durement son interlocuteur. « Que me voulez-vous ? » L’humain semblait plus qu’énerver par son comportement. Mais le dieu ne faisait pas attention à lui, il était trop occupé à regarder ce corps qui était le siens fut que ses mains se mouvait selon ses envies. « Bouge-toi ! On t’attend pour une caisse. » Répondit d’une voix encore plus grave le mortel. Epialès ne comprenait plus rien. Il dévisageait ce type qui s’adressait ainsi à lui et finit par se relever pour lui tenir tête. « Qui êtes-vous ? » Mais la réponse n’avait même pas besoin d’être formuler à voix haute, elle était déjà dans son esprit. Son patron, son boss comme « il » aimait à l’appeler. Les informations s’enchaînèrent, se bousculèrent dans sa tête. Des flashs lui revinrent en mémoire, apportant ainsi un maux de crâne inimaginable à Epialès. Il se tenu la tête, ne répondit pas aux provocations de son « patron », se concentrant sur ce qui défilait devant ses yeux, cherchant à comprendre le pourquoi du comment.

Reprendre la vie d’un humain qu’il ne connaissait même pas était une chose extrêmement complexe, extrêmement dure à faire. Même si le dieu avait connaissance de la plupart des secrets de son vaisseau, il n’en restait pas moins difficile à recopier sa vie, son attitude. Surtout à ce qu’il avait compris, ce Nathanaël était un coureur de jupon comme de caleçon et avait une réputation à tenir. Il n’était pas rare qu’Epialès reçoit des appels de ses « fans » comme Nate aimait les appelés. Pour le dieu, cela ne le dérangeait pas spécialement, surtout qu’il ne savait toujours pas se servir de cet étrange boite noire appelé « téléphone ». Il ne comprenait pas du tout ce qui se passait ici, à « New York. » Pourquoi était-il là ? Etait-il le seul dieu à être tombé sur Terre ? Comment devait-il exercer ce pourquoi il avait été créé maintenant dans un corps en chair et en os ? Pleins de questions se bousculaient dans sa tête mais il ne trouvait pas de réponse. Et de temps en temps il avait peur. Surtout quand il se couchait dans son lit de fortune pour découvrir les pires peur de son hôte. Et cela était plus que désagréable. Surtout quand c’était lui qui visitait ses cauchemars, tous les soirs, sans arrêt. Des cauchemars horribles, effroyables. Des cauchemars qui lui fichaient simplement une trouille bleue. Et cela était un peu déconcertant en sachant que lui, Epialès était le dieu des cauchemars. Mais il était démuni dans ce corps. Il était seul dans cette galère et même si la solitude l’enchantait avant. Il ne semblait plus vouloir marcher avec elle maintenant. Epialès voulait revoir ses frères, revoir sa mère, revoir des gens qu’il connaissait.


➝ BEHIND THE SCREEN
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MessageSujet: Re: (epialès) + même le lilas blanc possède une ombre.    (epialès) + même le lilas blanc possède une ombre.  EmptyVen 26 Avr - 12:39

Re-bienvenue I love you
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MessageSujet: Re: (epialès) + même le lilas blanc possède une ombre.    (epialès) + même le lilas blanc possède une ombre.  EmptySam 27 Avr - 17:44

» commentaires sur la fiche
J'en profite pour te dire "re-bienvenue ! (epialès) + même le lilas blanc possède une ombre.  3555277897 Encore désolée pour l'erreur... Je ne vois aucun autre commentaire à faire ! Tout est parfait (epialès) + même le lilas blanc possède une ombre.  1513506711
» général
Félicitations, tu es validé(e) ! Nous sommes heureux de t’accueillir parmi nous. Tu peux désormais commencer tes aventures dans la zone RP mais auparavant n’oublie pas de remplir ton profil au maximum et de créer tes fiches de liens et de sujets (sans oublier ton avatar et ton personnage qui ne te seront pas réservés avant que tu postes dans ce sujet et ce sujet). Si tu es un demi dieu, viens recenser tes pouvoirs ici. Si tu veux un rang personnalisé, rendez-vous ici et les métiers et appartements devront être recensés dans les sujets réservés à cet effet. Nous espérons que tu passeras d’agréables moments en notre compagnie.

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