Je m'appelle Cissnei Sullivan, j'ai vingt-six ans et je suis née le 13 octobre. Vous me trouverez très apaisante, attentionnée, curieuse, patiente, généreuse, engagée, bienveillante, divertissante, autonome, drôle. , bien que certaines personnes me reprochent d'être entêtée, émotive, inaccessible, peureuse, rétrograde, secrète, sensible, triste, méfiante, obstinée. Dieu, et le surpernaturel en général, je n'ai jamais cru en l'existence de Dieu mais je respecte toutes les croyances. Le supernaturel... j'espère secrètement qu'il existe... j'ai toujours rêvée me voir dotée de supers-pouvoirs. Catwoman est mon idole. (bon je sais, ça n'a pas grand chose à voir avec le supernaturel). Je suis actuellement chauffeuse de taxis après avoir été virée de mon précédent emploi (responsable marketing au sein de la Sony Music Entertainment) . Sinon, on m'a dit que je ressemblais à Yoon Eun Hye. Je fais partie des mortels.

« Visage triste. Yeux larmoyants. Robe à fleurs. Fille de meurtrier. Lee Se Na. Se Na. Lee Se Na ! » La fille âgée d'une quinzaine d'années, se cache sous le toboggan d'un parc à l'abandon pour enfants dans un quartier de Busan en Corée du sud ou elle vie depuis des semaines, les prémices survoltées de l'arrestation de son père. Un mois avant l'action qui suit, Se Na rentrait chaque jours chez elle après l'école la boule au ventre en passant la clef du portail de sa maison vétuste à l’intérieur de la serrure. Les hurlements des chiens du quartier l'angoissait toujours davantage quand elle se rapprochait pas à pas de la porte d'entrée de son habitat. Un après-midi de printemps, le bruit du verre brisé à l’intérieur de la maison annonçait déjà les évènements. Croyant avoir affaire à sa mère, Se Na s'agrippait à la jupe de son uniforme de collégienne et appelait avec angoisse le nom de sa mère une fois à l’intérieur du salon pour en trouver l'origine. Des mains glacées enlacèrent sauvagement sa bouche et elle se retrouva rapidement projetée contre le parquet. « Ou est ta mère ?! OU EST TA MÈRE ?! IDIOTE ! » Pleurant déjà à chaudes larmes, Se Na se mit bien vite sur les genoux, liant ses mains autour des jambes de son père pour demander pardon, hurlant à la mort d'une façon si minable que cela aurait pu arracher un rire à n'importe qui dans une tout autre situation. « NE VAS-TU PAS ME PARLER ?! » Poussée à nouveau violemment par son père contre le parquet, elle se retrouva bien vite sur le dos. L'enragé ramassa la couette du futon ou elle dormait à coté de sa mère chaque nuit pour la balancer sur sa fille. Commença alors un florilège de coups de pieds répétés bien placés sur le corps frêle de l'adolescente, cachée sous la couette de son lit. Dehors, sa mère épiait la scène depuis l’extérieur et ne vint pas même à la rencontre de son mari pour sortir sa fille de là. Prenant ses jambes à son coup, elle quitta sans équivoque et discrètement l’extérieur de la maison.

Plus tard, on retrouvait le père de Lee Se Na, adossé sur le parquet contre le mur du salon, terminant sa deuxième bouteille de vin, visiblement plus calme. Son regard était posé sur la couette qui cachait le corps presque inanimé de Se Na, quand un autre homme faisait son apparition dans le salon. « Oh putain. Ne me fait pas d’histoire. » Lee Dong Wook balança avec violence sa bouteille de vin sur la tête de l'inspecteur Sullivan et tenta en deux en trois mouvements de prendre la fuite. Le crâne ouvert et le visage bientôt légèrement ensanglanté, l'inspecteur râlait d'avoir été si sauvagement attaqué mais savait que derrière lui, ses collègues venaient de chopper le fuyard au vu de ses hurlements en provenance de l’extérieur de la maison. « Aish. »
L'inspecteur restait seul dans le salon, quand la forme "humaine" de la couette sembla soudain l'intéresser. Se rapprochant timidement, il retira délicatement la couette du parquet pour découvrir la minable Lee Se Na, faible, fatiguée, souffrante. « Hey. Toi là. Tu dors ? Tu peux bouger ? » Devant le peu de réaction de la demoiselle, l'inspecteur la porta sur son dos et l’emmena dans la rue ou tous le quartier s'était agglutiné pour observer l’arrestation du criminel Lee Dong Wook dont les poignées étaient déjà menottées. Une femme relativement âgé vint barrer la route de l'inspecteur Sullivan. « Votre fille est souffrante ! Il faut l’emmener à l’hôpital ajumma ! » « Et puis quoi ? Vous voudriez prendre soin d’elle vous ? Si vous tenez tant à ce qu'elle aille mieux, devenez son père ! »

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New York City. Lee Se Na est devenue Cissnei Sullivan, fille adoptive de l'inspecteur Sullivan et demie sœur de Natalia Sullivan. Sa mère et elle ont été accueillit au sein de cette famille non pas par hasard, mais parce qu'il en a été décidé ainsi. Cissnei vie dans l'ignorance totale, et est encore et toujours hantée par les birbes de son passé. Deux personnes connaissent la vérité, la vérité qui est que Lee Dong Wook a été injustement condamné. Fille de meurtrier, coupable, Cissnei pense encore être la fille d'un monstre. Un homme violent qui au final, n'as quand même jamais tué personne. Le quartier a attaqué sa mère, elles ont été ainsi traitées pendant des semaines comme des déchets de la société. N'y tenant plus, si la police a cherchée à étouffer l'affaire en détenant de nouvelles preuves sur l'affaire Dong Wook, l'inspecteur Sullivan emprunt à une culpabilité certaine, a choisi de dire la vérité à la mère de Se Na. Lee Jeri Na (sa mère) a choisie de ne pas révéler la vérité à sa fille, ne sachant pas si cela pouvait la libérer ou non d'un mal. Cissnei a au quotidien la sensation d'être mal-jugée, il lui arrive même de penser que les gênes d'un meurtrier sont inscrits dans les siens et qu'il lui sera possible un jour de le venir à son tour. Dernièrement, Cissnei a été virée pour avoir frappé au visage son responsable alors qu'il tentait dans un ultime effort d'abuser d'elle sur son lieu de travail. Personne ne croyant à son histoire et n'étant pas prise au sèrieux, elle décidait de bosser en tant que taxiste indépendante pour ne plus à avoir à bosser pour des gens malhonnêtes et fourbes. On ne peux pas dire que la vie de Cissnei ait été facile, il semblerai presque même qu'elle est de pire en pire. Il lui arrive de penser que si Dieu existait, qu'il était dur de s'acharner autant sur elle.

PRÉNOM &/OU PSEUDO : redda (mango pickle) ÂGE : vingt ans. PAYS : france. NUMÉRO DE CARTE BLEU : nanmééé ça va pas oooh. de toute façon, il n'y a vraiment pas grand chose dans mon compte en banque. MOT DE PASSE DU RÉGLEMENT Ok by Emy AVIS SUR LE FORUM : mon dieu c'est une tuerie. j'ai consulté le contexte sur bazzart, j'ai cliqué et je suis tombée littéralement amoureuse du forum.

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