la vengeance est une justice sauvage ❉ (némésis)

***➝ messages d'Iris :*** 258 ***➝ revenu sur terre le :*** 02/03/2013

« NÉMÉSIS INVIDIA HEATHERTON »

Lorsque le vice marche devant, tôt ou tard la vengeance le suit.

Je m'appelle Némésis et je dois avoir à mon actif environ treize milles années de service à notre très chère planète. Mes attributs sont une tige de mesure, une bride, une balance, une épée, un char, un fléau alias la vengeance ainsi que la justice divine et je suis souvent représenté accompagné de plusieurs griffons. Je suis arrivé(e) sur terre il y a un mois, et je ne m'y suis toujours pas habitué. Je suis célibataire en lutte avec mes propres désirs et c'est tant mieux ! Sinon, vous me trouverez très franche, ambitieuse, intrépide, consciencieuse, indépendante, ingénieuse, malicieuse, passionnée, juste, appliquée dans mon travail, loyale, persévérante et confiante, bien que certaines personnes me reprochent d'être froide, rancunière, hautaine, autoritaire, colérique, impulsive, cynique, ironique, insolente, dur et inflexible dans mon travail, ainsi que d'avoir un air dédaigneux sans cesse affiché sur le visage. Mes pouvoirs, j'ai tendance à les mettre en avant en punissant quelques mortels par ci par là, bien que je sais rester discrète afin de ne pas griller notre couverture sur terre et j'avouerais que je trouve que les mortels sont totalement imbus de leur petite personne, j'ai sans cesse envie de leur flanquer une bonne raclée. Pour m'intégrer, j'ai décidé de devenir étudiante en droit, tout comme mon hôte Rosy. Sinon, on m'a dit que je ressemblais à Holland Roden.

➝ BECAUSE I KNEW YOU

Avant d'être habité par l'essence d'un dieu, ce corps était habité par l'âme d'un humain (qui n'a pas pu survivre après votre arrivée). Écrire brièvement qui cette personne était et ce qu'elle faisait.

➝ BEHIND THE SCREEN

PRÉNOM &/OU PSEUDO : Sulky Girl ou Laura. ÂGE : dix-huit ans, presque dix-neuf. PAYS : La Belgique. NUMÉRO DE CARTE BLEU : Dans tes rêves ! (a) MOT DE PASSE DU RÉGLEMENT attend, c'est moi qui ai écrit le règlement tongue

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***➝ messages d'Iris :*** 258 ***➝ revenu sur terre le :*** 02/03/2013

J’ouvris les yeux aveuglés par les rayons du soleil, le cœur battant la chamade à cause de cet horrible bruit strident s’élevant dans la pièce. Je trouvai rapidement le fauteur de trouble et pris soin de le réduire en cendre d’un claquement de doigt tout en replongeant sous ma couette moelleuse et douillette. Personne ne pouvait ainsi troubler mon sommeil divin. Je refermai lentement les paupières, me laissant bercer par la respiration lente et régulière de… Attendez une minute, à qui est cette respiration ? J’émergeai rapidement de sous la couette, retenant de justesse un petit cri aigu de surprise, en apercevant une touffe de cheveux ébouriffées reposées sur l’oreiller à côté du mien et de surcroit en prenant conscience que j’étais totalement nue comme un ver tout comme mon invité, à moins que ? Je scrutai rapidement les environs, tournant le visage de gauche à droite comme une ahurie. Quelle est cette chambre rose fuchsia tout droit sortie d’un film féminin ? Lentement, tout en prenant soin de ne pas réveiller… l’homme inconnu dormant dans ce lit inconnu, je frôlai le parquet de la pointe des pieds m’empressant d’enfiler ce qui semblait être une petite culotte mais qui était conçu avec tellement peu de tissu qu’on venait à se demander où était l’endroit de l’envers, ainsi qu’un léger peignoir noir comme la nuit. Mais où étaient passé mes vêtements, songeais-je. Je me dirigeai vers la porte, quand un mur immaculé d’innombrables photos attira mon attention, le principal protagoniste semblait être une jeune fille rousse entourée de nombreux visages humains dont… Je jetai furtivement un coup d’œil derrière-moi, dont l’homme dormant à mes côtés quelques minutes plus tôt.

∇ ∇ ∇

Je ne savais pas exactement dans quel plan foireux j’étais encore en train de m’engouffrer, ma seule certitude à cet instant précis, était que Zeus avait une mission importante à me confier, au sinon il n’aurait jamais envoyé Hermès en personne me remettre une lettre étrange et brève en mains propres, signée de son propre sceau. Je restai prostrée un moment devant cet imposant gratte-ciel d’environs quatre-vingt étages, avant d’y pénétrer d’un pas franc et de me diriger vers la réception, où une jeune femme à la chevelure blonde comme le blé, me pria nonchalamment de me diriger vers le dix-huitième étages et de patienter un moment dans la salle d’attente. Ce que je fis évidement, sans oublier de montrer mon mécontentement à cette réceptionniste même pas foutue de sourire. J’avais l’impression d’être un simple pion mis à la disposition de Zeus, et cette impression ne fit qu’empirer quand je vis le monde qui patientait dans cette salle d’attente. Je reconnu Aura, une nymphe quelconque que j’avais puni des siècles auparavant et apparemment elle n’avait toujours pas enfoui sa rancœur envers moi puisque après m’avoir reconnu elle plaça son sac sur la chaise libre à côté d’elle. Ce comportement eu le don de me décocher un sourire narquois. Elle était l’exemple même de la justice divine. « Némésis Heatherton. » m’appela une voix masculine avant que je n’eus le temps de m’asseoir. Je repris ma façade froide et mon air dédaigneux, avant de pénétrer dans un grand bureau orné de tableaux en tout genre et de statuettes à l’effigie de multiples dieux de l’olympe. « Ah ma très chère Némésis, je t’ai enfin retrouvée ! Tu te cachais bien dis-moi, avoue que tu m’évitais ! » s’exclama Zeus, prostré derrière son bureau, enfoncé dans son confortable fauteuil en cuir foncé. Ce n’était ni vrai ni faux, puisque depuis la fameuse nuit d’amour non consentie que nous avions partagés, je préférais garder mes distances. « Loin de moi l’idée de t’ignorer, j’ai juste saisi l’occasion de prendre quelques semaines de repos. » répondis-je froidement, égal à moi-même. Il éclata d’un rire franc, avant de m’inviter à prendre place sur la chaise à l’opposé de lui. « Voyons Némésis, tu n’as pas besoin de me mentir, je sais très bien ce qui se cache derrière cet air impassible et mesquin que tu adoptes continuellement. » m’avoua-t-il avant de me décocher un clin d’œil. « Viens-en au fait. » me contentais-je de répondre tout en ignorant son petit clin d’œil très évocateur. « Toujours aussi directe à ce que je vois ! J'aime les femmes de caractère ! » s’exclama-t-il le sourire rivé aux lèvres. « Je tiens avant tout à te dire, que tu t’es joliment réincarnée. » Je dû retenir un long soupire tout en serrant la mâchoire, il n’avait pas changé d’un poil, toujours aussi charmeur et opportuniste. « Oui, je suis satisfaite de cette enveloppe humaine, malheureusement tu n’auras pas la chance d’en profiter. » ripostais-je tout sourire, satisfaite de ma petite réplique. Il sourit à son tour, dévoilant ainsi ses dents blanches, avant de pousser un long soupire et de s’étirer tel un guépard, laissant ainsi s’installer le silence. Il prenait son temps, et moi, je n’avais pas la journée, il fallait que je retourne en cours. « ça, ça se discute... mais en réalité, si je t’ai convoquée aujourd’hui, c’est parce que j’ai une mission pour toi. » m’expliqua-t-il. Cette réplique piqua ma curiosité au vif, bien que j’ignorai royalement la première partie de cette dernière. « Ton frère Dolos fait beaucoup parler de lui ces derniers temps. » se contenta-t-il de dire. Oh non, pas lui, songeais-je. « Et alors ? Je n’ai rien avoir avec lui, cette affaire ne me concerne pas. » rétorquais-je froidement. Il n’était pas question que je sois mêlée aux problèmes de Dolos. De plus, moins je le voyais et mieux je me portais. « Pourtant il me semble qu’il s’agit bien de ton frère ! » répondit du tac au tac ce très cher Zeus. « Oui, comme au moins deux dizaines d’autres dieux et déesses. » objectais-je, contrariée par toute cette histoire, je venais de m’engouffrer dans un véritable piège qui était déjà en train de se refermer sur moi. « C’est vrai. » admit-il. « Mais tu n’es pas comme ces autres déesses, je tiens de source sûre, que ce bon vieux Dolos serait intéressé par toi depuis plusieurs millénaires déjà et je le comprends d’ailleurs. » m’assura-t-il d’un ton mi charmeur mi amusé. Je roulai des yeux, il commençait sérieusement à m’énerver. « Je ne vois pas en quoi son attirance envers moi change quelque chose à la situation. C’est de Dolos dont nous parlons, s’il s’est mis en tête de griller notre couverture, il le fera. » proférais-je tout en ignorant sa dernière réflexion.« Oui mais tu as de sérieux atouts… si tu vois ce que je veux dire. » déclara-t-il sur un ton enjôleur. « Tu es la personne la plus apte à le gérer, alors tu vas le faire, et ce par n’importe quel moyen, sinon je te tiendrai comme responsable si nous venions à être découvert. » reprit-il plus sérieusement. Je ne répondis pas, et me contentai simplement d’un hochement de tête, je n’arrivais pas à digérer l’information. Sans plus attendre je me levai afin de déguerpir d’ici au plus vite. « Ce fut un plaisir de te revoir ma douce Némésis. » ajouta-t-il avant que je ne passe le seuil de la porte.

∇ ∇ ∇

Cela faisait désormais quelques jours qu’un courrier avait été envoyé à mon appartement, courrier que la sœur de mon hôte avait par mégarde ou plutôt par pure curiosité faillit ouvrir. Heureusement, on avait échappé de peu au drame du siècle. Cette enveloppe comprenait un peu près toutes les informations importantes concernant ce cher Dolos, son nouveau logement, sa nouvelle vie, ou plutôt tous les détails concernant la vie de son hôte et bien évidement toutes les bourdes qu’il avait réussi à accumuler en seulement un mois de temps et qui mettaient en péril notre couverture sur terre. Depuis lors, je ne m’étais toujours pas décidée à aller lui parler, tout d’abord car je digérais encore ma rencontre avec Zeus et les enjeux de cette « mission », et ensuite parce que je cherchais mentalement le moyen le plus efficace et le plus susceptible de le convaincre d’arrêter ses foutues conneries et de se calmer. J’étais pétrifiée, en face de cette grande bâtisse, une grande villa de couleur blanche et beige avec vue sur la plage et l’océan, je n’en revenais toujours pas de l’endroit où vivait cette raclure. En mon fond intérieur j’avais espéré qu’il se soit réincarné dans le corps d’un clochard sans un sous en poche et très peu séduisant, mais malheureusement c’était l’effet inverse qui c’était produit et au vue de la photo annexée à mon courrier, il avait pris possession d’une enveloppe charnelle pas vraiment désagréable à regarder. Je pris mon courage à deux mains, respirai un bon coup et m’avançai d’un pas qui se voulait assuré vers la demeure du dieu de la ruse. J’entrepris alors de frapper, avant de tirer sur la poignée et de me rendre compte que la porte était ouverte. Quoi de plus normal après tout, comme s’il avait besoin d’une serrure pour se protéger. Je m’en voulu aussitôt d’avoir mis des bottes à talons hauts ce matin, en même temps vu la petitesse de mon hôte, je n’avais pas trop le choix. À pas lents, je découvris au fur et à mesure la somptueuse villa dans laquelle je venais de pénétrer par effraction tout de même, avant d’entendre de légers chuchotements s’élever dans les airs et provenant de l’étage. Ni une, ni deux, je montai les escaliers deux par deux avant de m’engouffrer dans ce qui semblait être, un bureau, faisant également office de petit salon. Depuis le seuil de la porte, je pouvais distinguer deux silhouettes, une de dos tendant un paquet à celui derrière le bureau. « C’est de la qualité. » assura l’homme de dos. J’arrivais en plein business apparemment. Je ne pu m’empêcher d’émettre un raclement de gorge audible afin d’attirer l’attention des deux interlocuteurs, qui se retournèrent sans attendre vers moi. « Je vous dérange peut-être ? » demandais-je simplement sur un ton détaché. Tandis que les lèvres de Dolos s’étirèrent dévoilant ainsi ses dents blanches et parfaitement alignées, l’autre protagoniste sembla paniqué par ma présence et rangea immédiatement dans sa veste la liasse de billets que venait de lui tendre Dolos. « Pas du tout amour, Daryl était justement sur le point de partir. » répondit-il simplement tout en me scrutant de haut en bas, et en serrant rapidement la main de ce Daryl avant que celui-ci ne s’en aille définitivement. Il me jaugea un moment, laissant ainsi le silence envahir la pièce. « Tu es toujours aussi sublime et appétissante. » m’assura-t-il tout en nous servant deux verres de… Whisky au vue de la couleur. « Et toi tu es toujours aussi fourbe et arrogant. » rétorquais-je froidement avant de prendre en mains le verre tendu vers moi. « On ne change pas les bonnes vieilles habitudes. » se contenta-il de répondre tout en m’adressant un clin d’œil évocateur. « Je suppose que tu n’es pas venue ici rien que pour profiter de ma compagnie, à moins que… » ajouta-t-il une pointe d’espoir dans la voix. « Ne te fais surtout pas d’illusions, si je suis venue à ta rencontre c’est parce que je me suis vu confier une mission te concernant toi et tes petites démonstrations de pouvoirs devant les humains. » l'interrompis-je dans le but de mettre immédiatement fin à ses espoirs. Il me scruta avec étonnement, avant d’avaler d’une traite son verre de Whisky et d’éclater d’un grand rire. « Et ce bel abrutit de Zeus croit que tu es la solution à ce léger problème, évidement ! » s’exclama-t-il entre deux éclats de rire tout en venant déposer sa main droite le long de ma joue. Je poussai un soupire exaspéré, avant de me décaler d’un pas en arrière. A peine venais-je de le retrouver et il m’excédait déjà au plus haut point avec ses sourires charmeurs, ses clins d’œil, et ses gestes enjôleurs. « Effectivement, il pense que je suis la mieux placée pour freiner tes ardeur. » dis-je simplement. Ses expressions faciales n’avaient pas changés d’un poil et ce malgré la transition qu’il avait subi. Son nouveau corps était différent en tous points de son ancien cependant, autrefois ses longs cheveux noirs corbeaux cascadaient le long de ses épaules tandis que son visage angélique reflétait totalement l’opposé de sa personnalité. Finalement, je le préférais dans ce nouveau corps qui semblait étrangement mieux correspondre à son identité. Dolos me dévisagea avec cet air indéfinissable, un mélange de désirs et de perversion. « Je dirais plutôt que tu éveilles en moi des désirs insoupçonnés, enfouis depuis un mois. » objecta-t-il, en profitant par la même occasion pour venir me caler entre lui et le mur. « Tu sais très bien ce que j’ai voulu dire Dolos. N’essaye pas d’éviter le sujet, d’ailleurs tu as plutôt intérêt d’arrêter tes conneries, parce que si notre couverture venait à être grillée par ta faute, c’est moi qui en prendrait pour mon grade. »persiflais-je vivement, tout en le repoussant prestement avant de sentir une forte pression envahir mon poignet bloqué entre les mains de mon interlocuteur. « Tu veux dire, que toi et moi sommes liés par le sort ? » questionna-t-il en resserrant son étreinte. « Non, nous sommes liés car tu n’es pas foutu de rester discret. Maintenant lâche-moi. » rétorquais-je froidement. Il s’exécuta sans un mot l’air songeur. Malheureusement cet état de réflexion ne dura pas assez longtemps à mon gout. « Donne-moi ce que j’attends de toi depuis des siècles, que dis-je depuis des millénaires, et je promets de me calmer. » m’assura-t-il. Sous-entend, couche avec moi. Je serai la mâchoire pour contenir ma colère et mon exaspération. « Tu rêves ! » ripostais-je immédiatement. « Alors je vais être contraint de continuer mes conneries, comme tu le dis si bien, et toi et moi, nous plongerons ensemble. » ajouta-t-il avant de replacer une mèche rousse rebelle derrière mon oreille, ce qui lui valut d’ailleurs une petite tape sur la main. « Tu me dégoutes, je ne savais pas qui tu étais tombé aussi bas au point de me faire chanter. » m’écriais-je en me dirigeant d’un pas pressé vers la sortie, il n’était pas question que je reste une minute de plus dans la même pièce que lui. « À vendredi soir amour, dix-neuf heures trente au Mandarin Oriental, à Manhattan. » Je roulai des yeux, s’il croyait que j’allais sérieusement me pointer à son stupide restaurant il pouvait se mettre le doigt dans l’œil.

***➝ messages d'Iris :*** 761 ***➝ revenu sur terre le :*** 01/03/2013

Tu devrais lui donner le prénom Justine parce que ça fait genre Justice

okay je sors la vengeance est une justice sauvage ❉ (némésis) 1720031772

BFF

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***➝ messages d'Iris :*** 258 ***➝ revenu sur terre le :*** 02/03/2013

t'as cru toi, j'aime pas ce prénom, ça me rappel une fille que je pouvais pas supporter en plus et puis j'ai choppé le prénom de ma filleule je trouve que ça va bien à holland
on va trop faire des rps de ouf

***➝ messages d'Iris :*** 761 ***➝ revenu sur terre le :*** 01/03/2013

Si Némésis veut aller du côté obscur de la force avec Artemis, dis le moi la vengeance est une justice sauvage ❉ (némésis) 1533445428

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