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 (pv) you can't lie to me ft. Artémis

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Apollon Anderson

Apollon Anderson
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MessageSujet: (pv) you can't lie to me ft. Artémis   (pv) you can't lie to me ft. Artémis EmptyLun 1 Avr - 20:58


you can't lie to me

Ft. Artémis & Apollon
Il sentait que quelque chose était en train de lui échapper, de lui filer entre les doigts et c'est une sensation qui le répugnait, qui le rendait fou à même de ne pas contrôler ses actions. Quand il était question de sa jumelle, tout était différent. Si les femmes n'étaient que des oeuvres d'art desquelles il s'amusait, elle était autrement. Apollon était réputé pour sa façon de faire, pour ne pas se faire marcher sur les pieds et aussi pour ses nombreuses conquêtes, en partie féminines, mais quelques fois masculines, rarement en fait. Rare était les fois où il se laissait charmer par un homme, à moins que celui-ci soit doté d'une beauté particulière. Amoureux de l'art, il voyait des choses que les autres ne voyaient pas. Les corps, les muscles, les yeux, des petits détails qui ne lui échappaient jamais. Quelque chose n'allait pas. Cette absence. Cette tension qu'il sentait et qui ne lui plaisait pas le moins du monde. Sa relation avec sa jumelle était plus que malsaine. Fusionnelle à souhait. Surement bien plus qu'elle ne devait l'être, mais qu'importe. Il ne voulait pas repousser, il ne voulait pas qu'elle file entre les bras d'un autre, il ne lui voulait pas le moindre mal. Depuis quelques jours, elle se faisait distante et tellement secrète. Il aurait facilement pu user de son don de divination sur elle, pour savoir ce qu'elle lui cachait. Ce don qui lui avait été utile pour trouver les infidélités de quelques femmes. Ce don qui lui permettait de savoir tellement de choses. L'avenir, le caché, le passé, les trésors, les maladies invisibles, les secrets, les mystères. Il ne voulait pas l'utiliser sur elle, mais à trop lui mentir/l'éviter, il allait finir par le faire.

Dans sa demeure, il jeta un regard à son reflet dans le miroir. Il avait du mal à s'habituer à cette apparence qui était la sienne. À ce teint hâlé, ce regard sombre, ces cheveux foncés. Son physique semblait plaire, mais c'est surement parce qu'il avait un charme indéniable que les femmes lui tombaient toujours dans les bras. D'un claquement de doigts, il faisait apparaître des vêtements sur lui et il fila vers la porte pour sortir dehors. Il n'avait pas envie d'user de ses pouvoirs pour s'y rendre et c'est pour cette raison qu'il décida de marcher une bonne partie du chemin, jusqu'à ce qu'il se lasse et qu'il se décide à abréger l'attente. Probablement qu'elle ne l'attendait pas, mais il n'allait pas lui demander la permission pour lui rendre visite. Hors de question. Il monta les quelques marches qui menaient devant la porte pour lui asséner quelques coups. Le silence était pesant et si elle n'était pas chez elle, il allait devoir la chercher et cela ne lui faisait pas envie le moins du monde. Il y avait un risque pour qu'il tombe sur un spectacle qui n'allait pas lui plaire. Il y avait un risque que tout cela se termine mal à un moment ou un autre. Il attendit jusqu'à ce que les pas légers de la demoiselle lui parviennent aux oreilles, jusqu'à ce que la porte s'ouvre et qu'il laisse son regard se vriller dans celui de la jeune femme. Il l'observa, un moment, avant de finalement entrer sans demander la permission ou quoi que ce soit.

Ce n'était pas la première fois qu'il mettait les pieds dans sa demeure. En réalité, elle passait du temps chez lui et il faisait de même chez elle. Il était incapable de se passer d'elle à long terme, avant de sentir ce vide prendre possession de ses entrailles et cette envie irréprochable de la posséder. Apollon n'y allait pourtant jamais rapidement et leur échange se faisait peu nombreux. L'envie le prenait trop souvent, mais il ne le laissait pas paraître. Il aimait avoir le contrôle, sentir la demoiselle frissonner ou réagir aux contacts qu'il se plaisait à créer. Elle avait aussi sa manière de le rendre fou, à le fuir ou à se taire, comme elle le faisait en ce moment. Après l'avoir contourné et inspecté l'endroit du regard, il fit demi-tour pour se retrouver en face d'elle, figeant ses yeux dans les siens. Elle lui plaisait, un peu trop, sous cette apparence. Elle lui plaisait en général, mais il aimait le côté fin et fragile de cette silhouette tellement gracile. « -Pourquoi diable m'évites-tu donc? Et qu'est-ce qui te rend si silencieuse Artémis. Je n'aime pas quand tu te conduis de la sorte.» Il leva la main pour venir la poser contre sa joue, caressant lentement de son pouce cette peau opaline, cette peau pâle, ne quittant pas un moment son regard du sien, la sondant du sien, l'observant dans la moindre de ses réactions. Il laissait ses doigts caresser sa joue encore un moment avant de terminer le contact, comme si de rien n’était, comme s'il n'avait jamais laissé ses doigts passer sur son visage, contre sa peau tellement douce. Il recula de quelques pas, observant les alentours avant de se retourner vers elle. « -Qu'est-ce que tu me caches?» Il voulait savoir. Il avoir ce besoin intense de savoir tout ce qui pouvait la concerner. Elle était sa moitié. Sa jumelle. Une partie de lui. Sans elle, il se sentait vide à un point que tout devenait plus malsain, laissant le désir prendre place trop souvent, ce désir de l'avoir pour lui, ce désir d'elle, tout simplement. Qu'elle lui parle. Qu'elle lui avoue, au risque d'attirer sa jalousie, au risque de lui faire perdre ce masque de calme, au risque de ressentir les élans de sa hargne sur son propre corps. Il était parfois imprévisible. Surtout quand il était question d'elle, surtout quand il était question d'autre que lui. Il savait tout sur elle, comme elle savait tout sur lui et elle savait parfaitement comment il était, même à le deviner la plupart du temps. Mais ils se complétaient, bien plus qu'elle ne pourrait le faire avec qui que ce soit d'autre. C'était ce qui rendait le tout encore plus intense, encore plus malsain. Qu'aucune femme qui traînait dans son lit n'arrivait à compenser cette chimie particulière, ce complément qu'était sa soeur. Il ne pouvait pas s'empêcher de tenter de combler ce désir malsain qu'il avait pour elle.
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Artemis Greenwoods

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MessageSujet: Re: (pv) you can't lie to me ft. Artémis   (pv) you can't lie to me ft. Artémis EmptyDim 7 Avr - 14:45

He's more than a man and this is more than love, The reason that the sky is blue, But clouds are rolling in because I'm gone again And to him I just can't be true
a p o l l o n
►◀
Il lui arrivait souvent de penser à ce jour où tout avait basculé. Quand, de soeur jumelle, elle était devenue amante, plongeant volontairement dans cette douce addiction qui était devenue peu à peu une malédiction personnelle. Comme elle regrettait ce moment précis où prise d’une folie soudaine, elle avait dévoilé ses formes féminines en ouvrant négligemment le déshabillé posé sur ses épaules délicates, s’offrant au regard empli de désir de son propre frère et à la chaleur suave de ses baisers. Elle était naïve, alors, ne connaissant pour que caresse que celle du vent sur sa peau, l’effleurement sensuel du papillon qui se pose, et l’excitation de la traque qui la faisait frémir aussi sûrement que l’étreinte d’une maîtresse. L’imbécile, tempêtait-elle, quand elle se remémorait ces heures inoubliables où il avait découvert et redécouvert avec dévotion chaque parcelle de sa peau, se gorgeant de ses cris de plaisir et se délectant de chacun de ses gémissements. Faits l’un pour l’autre, parfaits dans leur union et incomplets dans la séparation désharmonieuse de leurs êtres. Voilà les arguments chuchotés dans le secret de leurs draps pour justifier cette pulsion malsaine qui les obligeait à accoupler leurs deux corps. Maintenant, elle ne pouvait plus se passer de lui. Il était sa drogue dure. L’assuétude dans laquelle elle se complaisait depuis trois siècles ne légitimait plus l’acte, et encore moins la jalousie silencieuse qui s’emparait d’elle et de chaque cellule de son organisme à la mention des autres. Les autres, c’est ainsi qu’elle les appelait dans sa tête, ne supportant pas de placer un prénom et un visage sur les maîtresses anonymes et ignominieuses d’Apollon. Pourtant, elles n’étaient que des oiseaux de passages, partant aussi rapidement qu’elles arrivaient. Mais la simple mention de ces concubines d’un soir la remplissait de rage. Elle les méprisait, elle les haïssait avec une ardeur qui eut fait pâlir d’effroi le plus cruel des humains. Apollon, le spectateur opportuniste de ces colères, jouait avec ses émotions, elle le savait. Il la manipulait pour obtenir ce qu’il désirait d’elle, et jolie poupée, pantin obéissant, marionnette de sa convoitise, elle se laissait faire, prête à tout faire pour garder sur elle les yeux avides et obsédants du dieu. « Ne me quitte pas » murmurait ; suppliait-elle lors de l’une de leurs familières étreintes enfiévrées, alors qu’il répondait avec une égale ferveur « Jamais ».

Son arrivée parmi les mortels n’avait en rien tari son désir de lui, si ce n’est que cette nouvelle enveloppe terrestre lui donnait à présent l’excuse qu’elle avait toujours cherché auparavant pour s’unir à Apollon sans culpabilité. Ils n’étaient aujourd’hui frère et soeur que par l’esprit, leurs deux hôtes étant officiellement fiancés, aucun de leurs ‘amis’ ne s’étonnaient quand ils étaient surpris dans une posture trop peu platonique. Bien entendu, ils avaient du prétendre à une séparation cordiale quand il s’était avéré qu’un mariage était prévu dans quelques mois, à la stupéfaction de ces mêmes personnes. Artemis avait gardé l’appartement, et Apollon s’en était allé habiter ailleurs, ce qui ne les empêchait pas de se voir souvent, trouvant trop fades ces journées d’absence où leur seul contact demeurait un coup de téléphone ou un message hâtivement griffonné. Elle le fuyait, cependant, se refusant à ses caresses, s’échappant avec une gracieuse puérilité et une espièglerie qui le rendait fou, mais n’ignorant jamais l’issue ultime de ces badinages entêtés : leurs deux corps entremêlés, brûlants et palpitants au rythme de leurs battements de coeur.

Si son corps dépendait ainsi de lui, il n’en allait pas de même pour son coeur qui gardait une indépendance haït par le dieu, et à raison. Bon nombre de fois était-elle tombée amoureuse, et lui avait-elle échappé, tantôt plusieurs années, tantôt plusieurs décennies, avant que la douleur de la séparation ne se fasse trop forte et qu’elle lui retombe dans les bras, ce même coeur brisé et en miettes mais son âme de nouveau entière. Et aujourd’hui, elle se trouvait encore confrontée à la même situation, trop effrayée pour faire part au dieu de son entichement pour une simple mortelle, et angoissée à l’idée qu’il décide de punir Faith pour quelque chose dont elle n’était qu’indirectement responsable. Elle avait donc pris sur elle pour l’éviter avec acharnement, soudainement trop occupée pour le voir, et quand l’occasion se présentait malgré tout, le couvrant de baisers pour détourner son attention. Elle savait qu’il la respectait trop pour découvrir ce qui la tourmentait avec un oracle, mais que ce plan hâtivement concocté n’arriverait jamais à le fourvoyer complètement. Aussi, quand elle entendit la sonnette d’entrée de son appartement résonner, elle ne fut qu’à moitié surprise, et alla le saluer sans prendre la peine de s’habiller correctement, croisant au passage son reflet dans le hall, elle - si peu habituée à cette apparence frêle. Elle ouvrit la porte, et ses prunelles se posèrent sur la silhouette fine et hâlée du dieu, avant de se noyer dans les iris sombres de ce dernier. Il ne dit rien, se contentant de la regarder, avant de la dépasser pour entrer dans le couloir, faisant fi des banalités d’usage. Explorant les lieux comme s’il espérait y trouver des réponses, il se tourna à nouveau vers elle et elle sentit ses yeux appréciateurs sur son corps, la faisant frissonner. « Pourquoi diable m'évites-tu donc? Et qu'est-ce qui te rend si silencieuse Artémis. Je n'aime pas quand tu te conduis de la sorte. » finit-il pas demander d’une voix autoritaire, levant sa main pour la poser sur sa joue avec une tendresse presque émouvante. Elle se tût, laissant son jumeau chercher dans ses yeux une explication qu’elle ne pouvait lui donner. Il se recula brusquement, et elle exhala avec regret à la perte de contact dont il l’avait privée volontairement. « Qu'est-ce que tu me caches ? » relança t-il avec une frustration peu commune, même pour lui. Elle trembla, coupable, affolée par la jalousie modérée qu’elle pouvait sentir dans ce ton velouté et trop onctueux pour être honnête. « Il ne se passe rien, tu te fais des idées. » tenta t-elle, avant de s’approcher, ayant pour intention d’instiguer une intimité dont elle était souvent avare. « Mais maintenant que tu es là, je suis certaine que nous pouvons trouver d’autres sujets de ... Conversation ... Que ta paranoïa .. » elle accompagna ses paroles d’une main sur son torse, se mettant sur la pointe des pieds pour quémander un baiser qu’il lui donnerait sans doute aisément. Son frère était un instrument qu’elle savait jouer par coeur.
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MessageSujet: Re: (pv) you can't lie to me ft. Artémis   (pv) you can't lie to me ft. Artémis EmptyDim 7 Avr - 23:59


you can't lie to me

Ft. Artémis & Apollon
Apollon avait tout de possessif. Il n'aimait pas voir d'autres hommes ou femmes autour d'elle. Il ne se privait pourtant pas de faire ce qu'il avait envie, de trouver des femmes qui lui ouvraient les cuisses pour qu'il puisse s'y loger. Ça allait dans un seul sens. Le dieu n'était pas du tout le genre à se priver de quoi que ce soit, surtout pas le plaisir de la chair. Hors de question de se contenter de sa soeur, quoiqu'elle était surement la seule qui l'obsédait autant. Il la connaissait trop. Il la savait trop par coeur. Ses réactions. Les courbes de son corps. Le son de sa voix. Il était apte à deviner sa moitié, trop facilement, et c'est pour cette raison qu'il savait qu'elle lui cachait quelque chose. Trop longtemps. Trop longtemps loin de lui pour qu'il se dise que tout allait bien, pour qu'il pense qu'elle n'avait rien à lui cacher. Apollon savait qu'elle avait quelque chose, quelque chose qu'elle ne voulait pas lui avouer. Ce soir, il voulait savoir, peu importe ce qu'il devait faire. Hors de question qu'elle lui mente. Hors de question qu'elle lui cache quoi que ce soit. Il détestait vivre dans cette situation, surtout qu'il se doutait que cela avait à voir avec un autre ou une autre.

Il entra dans sa demeure, sans demander quoi que ce soit, sans réellement prendre le temps d'attendre qu'elle lui ouvre la porte. Il faisait comme chez lui, parce qu'elle n'avait rien à lui cacher, supposément, qu'il n'avait pas déjà vu. Ils avaient déjà franchi tellement de limites ensemble. Ils étaient déjà allez trop loin et d'une certaine façon, il n'avait pas la moindre envie de reculer. Il était ivre d'elle. Des moments trop alchimiques qu'ils pouvaient avoir ensemble. C'était pratiquement impossible de retrouver quelque chose de semblable avec une autre femme. C'est ce qu'il détestait. C'est ce qu'il haïssait de cette relation qui le rendait fou. Elle n'était pas un simple femme qui ouvrait les cuisses. Artémis était sa jumelle. Sa moitié. Celle qui le connaissait plus que quiconque et quand elle pensait tomber amoureuse, il se sentait rageur, il se sentait violent. Elle tombait amoureuse tellement facilement et elle lui filait entre les doigts, elle le délaissait et il n'avait qu'une envie, la repousser quand elle allait revenir. Il n'aimait pas être son second choix. Il n'aimait pas être mis de côté pour un pseudo amour. L'amour. Ça ne le connaissait pas. C'était impossible qu'il disparaisse pour quelques sentiments qu'il ne connaissait pas. Il avait aimé, quelquefois, mais ses histoires ne se terminaient que trop mal pour qu'il tente encore de le faire, pour qu'il veuille le faire. Maintenant, c'était autre chose. Il avait oublié l'amour. Il n'en voulait simplement plus. Apollon laissa ses doigts glisser tendrement contre sa joue. Un geste qui contrastait bien trop avec l'ardeur de sa voix. Elle pouvait deviner cette jalousie qui le rongeait, qui le rendait malade et qu'elle était la seule à être capable de lui soutirer.

Il laissa son regard couler lentement le long de son corps. Cette apparence le rendait tellement fébrile, malgré le faire qu'elle lui plaisait sous sa forme originale, c'était grisant de la sentir sous un autre corps que le sien. Un sourire en coin vint rapidement se poser contre ses lèvres. Elle lui mentait. Surement. Il le pensait. Il savait simplement qu'elle lui cachait quelque chose et ce n'est pas en s'approchant de lui de la sorte qu'il allait céder et oublier ce qui le rongeait. Il laissa sa soeur s'approcher. Il aimait quand elle venait vers lui, quand elle ressentait ce besoin de se coller à lui, de sentir les mains de son frère se poser contre son corps. Une victoire. Il voulait qu'elle soit incapable de se passer de lui comme il sentait ce besoin pressant d'être avec elle. Peut-être était-ce la peur de la perdre une fois de plus qui le faisait agir de la sorte? Quelque chose qui ne lui avouerait surement jamais, mais Artémis n'avait pas besoin de mots pour le comprendre, pour savoir ce qui se passait dans le fond de son esprit, comme lui. « -Je suis si loin de me faire des idées. Je te connais par coeur. Les moindres recoins de ton âme, de ton corps, de ton corps.» Le dieu souffla lentement contre sa peau alors qu'elle approcha ses lèvres des siennes et il attrapa son visage entre ses doigts, dans une rudesse qu'il ne put contrôler avant de la plaquer contre le mur derrière elle. Apollon ne lui offrit pas ce baiser qu'elle venait quémander, mais il se colla à elle, moulant son corps contre le sien, mélangeant leur chaleur respective. Sa main glissa lentement de contre son visage pour se poser dans son cou, approchant à son tour son visage du sien, laissant son souffle chaud s'échouer contre les lèvres de sa belle. Sa main libre vint se poser contre la courbe de ses hanches, coinçant son corps avec force contre le mur. La demoiselle était prise au piège entre lui et la sensation froide dans son dos. La main dans son cou se bougea pour ne laisser que le bout de ses doigts glisser lentement contre sa cage thoracique, passant lentement entre ses deux seins, les effleurant à peine pour s'échouer contre son ventre, passant sous le tissu de son haut pour trouver la chaleur de sa peau qu'il aimait tant. Son regard sombre se vrilla directement dans le sien, la fouillant de ses iris profonds, cherchant des réponses à ses questions. Artémis allait lui céder à un moment ou un autre. « -Ne me mens pas. Je sais lire en toi. Je te connais trop bien.» C'était un fait. Il savait la faire frissonner, faire camber son corps sous les délices de ses caresses, mais pour le moment, il ne faisait que jouer un peu avec elle, que de laisser quelques caresses passive contre sa peau, des secondes, des minutes. Sa main finit par se retirer de contre la peau de son ventre pour attraper ses cheveux entre sa poigne un peu trop ferme, question de faire pencher sa tête vers le côté, dévoilant la chaire de sa gorge et les effluves envoutantes de sa peau. Les lèvres d'Apollon vinrent se poser contre sa peau, l'embrassant avec une envie qu'il ne dissimulait pas, laissant quelques traces de ses dents, de sa langue contre le velouté de sa peau.
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