[PV Enée] On est des « sex friends », des amis qui couchent ensemble.

***➝ messages d'Iris :*** 234 ***➝ revenu sur terre le :*** 12/03/2013

Y a du monde cette nuit au club, y a vraiment de tout… ! Là, je viens de me faire un strip-teaseur, une histoire sans lendemain en attendant avec impatience le retour de mon amour, Cooper. Une sorte de sex-friend, c’est un garçon adorable mais j’ai l’impression qu’il est de l’autre bord si vous voyez ce que je veux dire, dommage pour moi, hein… Pas étonnant, presque tous les beaux garçons n’aiment pas les filles, ça m’énerve ! Bref, on s’en fout de ça. J’ai du boulot ce soir, je ne pense pas que je danserais, je n’ai pas trop envie ce soir.

Il y a des clients à servir, et tous les débutants n’ont pas décidé de bouger leurs jolies petites fesses pour m’aider ce soir. Heureusement, je suis assez énergique pour m’en sortir et les clients sont distraits par mes excellents danseurs, ce qui est assez compréhensible, ils sont beaux comme des dieux et j’avoue que j’ai du mal à ne pas envier mes danseuses pour leur beauté, et leur sensualité… ! Si Cooper était là, il me dirait que je n’avais rien à leur envier et que ce serait plutôt le contraire… Qu’est-ce qu’il me manque ! C’est pour ça que j’peux pas m’empêcher de me divertir, sinon je crèverai, c’est sûr. Je ne danserai pas ce soir, j’ai bien trop de travail au niveau du bar pour ça. Je sers quelques personnes, puis je vais remettre en place un des seuls employés qui s’est pointé ce soir. Devinez ce qu’il faisait ? Il draguait la clientèle alors que je galérais à satisfaire tout le monde. Pff !

Je n’ai pas le temps pour aller discuter avec les habitués de mon club, je n’ai pas une minute à perdre. Chacune de mes connaissances cherchent à m’accoster. Il est bientôt une heure du matin, exceptionnellement, je fermerais à deux heures au lieu de quatre. Je fais passer l’annonce par le DJ, les clients râlent mais tant pis. Je ne vais pas me tuer au travail. Il fait chaud, heureusement, je suis en T-Shirt-Short. Pour la première fois depuis longtemps, je vais voir un dealer bien connu dans le quartier, je lui quémande un rail de coke, il me le file gratuitement. Je me méfie pourtant. Je disparais quelques minutes dans les coulisses du club, je me booste pour tenir le coup encore pendant une heure. Et me voilà repartie. Les danseurs sont en forme, la chance, ils n’ont pas besoin de se shooter, eux au moins.

Soudain, une silhouette familière apparait. Non, ce n’est pas Cooper. Où est-il en ce moment ? Je me demande aussi avec qui il est, surtout si c’est une femme. Je ne veux pas qu’il me remplace, le fera-t-il un jour ? Mieux vaut ne pas y penser. Pour en revenir à cette drôle de silhouette, très bien bâtie : je remarque le grand blond. Un ami à moi, un de ceux pour qui je perdrais bien une minute de ma nuit, voire plus. En fait, on est du genre ami et plus si affinités. On va dire que c’est mon sex-friend officiel. Ça faisait quelques temps qu’on ne s’était pas vu, on discutait beaucoup entre deux coups. Je décidais de le héler.

***➝ messages d'Iris :*** 50 ***➝ revenu sur terre le :*** 01/04/2013

Deux interventions aujourd'hui, deux interventions totalement inutile. J'avais fait que ça aujourd'hui, avec quelques rapports, mais ça m'avait fatigué. J'avais déplacé deux escouades pour rien au final. Un faux braquage et une prise d'otage en carton. New York, c'était vraiment de la merde. La grosse pomme ? La grosse douille, ouais. Bref, j'avais passé une sale journée et vous l'aurez compris. J'étais dans mon bureau, je regardais ma montre. Vingt-heures trente, j'allais rentrer chez moi. J'étais un demi-dieu, j'ai était roi et me voilà désormais dans la peau d'un humain à taper des rapports. Peut-être que Parker aurait du rester militaire. Militaire, c'était soldat, c'était combattre pour son pays. Comme moi, auparavant même si j'étais prince et soldat en même temps. Allez, vingt et une heures, j'étais chez moi. J'allais me changer, et j'allais faire un petit tour au club. Non, non, pas pour draguer des petites minettes mais pour boire un petit verre, comme d'habitude.

C'était le club d'une amie qui habitait près de chez moi, Emilia. J'étais un peu le privilégié genre. Parker et elle n'étaient qu'amis, moi, en un mois, j'étais devenu son sex-friend. Bah, à mon époque, on fourrait nos engins un peu partout de toute façon. J'arrivais au bar, j'avais mon petit verre dans la main. Une bière, comme d'habitude. Quand je prenais une double vodka, c'était vraiment que la journée c'était mal passé. Et là, j'entendis mon nom. Me retournant, je vis Emilia. Heureusement que je l'avais entendu avec le bruit de la musique. Je m'approchais d'elle, et je lui fis la bise. « Comment tu vas ? », lui demandais-je. Et, honnêtement, je la trouvais... sublime. Je vais pas mentir, quand même.

***➝ messages d'Iris :*** 234 ***➝ revenu sur terre le :*** 12/03/2013

J’attendais qu’il se retourne, j’espérais qu’il allait réussir à m’entendre avec le brouhaha que faisait la musique du club. Apparemment oui, il m’avait entendue. Je me souvenais qu’il y a quelques mois, je n’étais que son amie puis, il y a un mois, on est devenus sex-friend et tout se passe bien, sans ambiguïté, sans sentiments dépassant l’amitié. Finalement, il arrivait au bar. Il venait souvent prendre une bière et du coup on en profitait pour parler, parfois on allait faire des trucs pas très catholiques dans les locaux privés, chez lui ou chez moi à la fin de la soirée. Ça finissait de temps en temps en confidences sur l’oreiller. C’est une des personnes qui me connait le mieux avec Isaac, à qui je peux tout dire.

Il était déjà assis au bar et avait commandé une bière d’après ce que je voyais, oui comme d’habitude. Il se rapprochait et venait me dire bonsoir en me faisant la bise. Il me demandait comment j’allais et à vrai dire, j’avais toujours du mal à répondre à cette question. Si Cooper avait été là, j’aurais répondu sans hésiter que j’allais super bien mais étant donné que je ne l’avais pas vu depuis une éternité… En tout cas, mon ami avait l’air d’aller bien, sinon il aurait demandé une double vodka, j’en étais soulagée. Il fallait bien que je lui réponde, mais que dire… Mentir, je sais bien le faire :

« Eh bien ça va ! Et toi ? »

Je me dirigeais vers le bar, j’avais moi aussi besoin d’un rafraichissement. De plus, certains de mes employés n’avaient pas encore daigné se pointer pour me filer un coup de main… Qu’est-ce qu’ils pouvaient m’énerver ! Il faut que je reste calme, je ne vais pas me mettre en colère à cause de ces incapables… Peut-être que danser me détendrait finalement. En plus, les danseurs n’ont plus vraiment l’air au meilleur de leur forme, maintenant, c’est moi qui pète le feu ! Il faut que je prenne le relais, ça ne va pas du tout là ! Ils vont foutre la soirée en l’air s’ils sont mous comme ça ! Il fallait à tout prix qu’ils dégagent de la scène. J’attendais qu’ils finissent leur numéro et avant je prévenais mon ami en les désignant:

« Désolée, il faut finalement que ce soit moi qui bouge ce soir, t’as vu comment ils sont ! Je reviens vite, promis je ne fais qu’un seul numéro ! »

Je me dépêchais d’aller en coulisse pour me préparer, je ne savais pas trop quel numéro présenter encore… Tant pis, il fallait que j’improvise ! Je ferais celui que je connaissais le mieux, le même que j’avais fait le soir où Isaac était venu. J’allais chanter Diamonds are a girl's best friend, il faisait toujours un carton ! Je me lançais, sûre de moi. Je fermerais d’ici pas longtemps de toute façon.

Le numéro s’était très bien passé, je voyais presque la bave pendre de la bouche des clients et j’étais quand même fière de ma prestation ! Je lançais des regards complices à mon sex-friend puis je rejoignais les coulisses. Je remettais ma tenue d’origine et retournais derrière le bar. Je m’adressais à celui qui avait attendu que je finisse mon numéro :

« Quoi de neuf, sinon ? Je te sers autre chose ? »

Je me préparais un mojito et attendais sa réponse tout en prenant place sur un des tabourets à ses côtés.

***➝ messages d'Iris :*** 50 ***➝ revenu sur terre le :*** 01/04/2013

Elle était pas moche, au contraire. C'était quelqu'un de très sexy, et puis je comprenais pas que Parker n'ait rien tenter avec elle. Après, c'est pas mon problème, maintenant... c'était moi à sa place, et j'allais pas me gêner. Je m'étais approché d'elle et lui avais dit bonjour, lui demandant comment elle allait. Elle me répondit que ça allait, me retournant la question. Petit sourire, je fis un signe de la tête pour lui dire que tout allait bien pour moi. On se dirigeait vers le bar, je me posais sur l'un des grands tabourets près du comptoir et face à la scène où les danseurs faisaient leur shows. Et là, Emila me dit qu'elle allait faire un show car les danseurs n'étaient pas à leur top. OK, j'allais pouvoir encore voir les qualités de la miss et ce n'était pas pour me déplaire, j'aimais beaucoup.

Lors de son show, je pouvais voir les nombreux hommes qui la mataient. Et, elle avait du le remarquer également. Tant pis pour eux, c'était moi qui avait droit de toucher la marchandise. Bref, quelques minutes de show, et elle revint vers moi. J'avais terminé ma bière pendant son show, lorsqu'elle revint, elle me demandait ce qui se passait dans ma vie et si je voulais boire autre chose. « Mets moi une autre bière s'il te plait. », lui demandais-je. Et, le quoi de neuf... Je n'aimais pas trop les questions de ce genre, je vous l'avoue. « Bah écoute... La routine. Le travail, le travail et le travail encore. J'ai l'impression... de passer ma vie au boulot et ici, en fait. », lui répondis-je. Fallait que je fasse quelque chose de nouveau, d'original que je ne faisais jamais en fait. « Et toi ? », lui retournais-je la question. Je me retournais pour faire face à la demoiselle, sinon j'allais attraper un torticolis. Et puis, il n'y avait plus rien à regarder sur la scène. Le DJ mixait quelques sons, sans plus. Bonne ambiance, quoi.

***➝ messages d'Iris :*** 234 ***➝ revenu sur terre le :*** 12/03/2013

Une fois que j’étais de retour derrière le bar, il me demandait de lui servir une autre bière, ce que je fis en lui disant que c’était un cadeau de la maison. Je lui devais bien ça, quitte à que nous soyons aussi intimes… ! Je pouvais bien comprendre que la routine le pesait, c’est pour ça que j’essayais de faire des choses plus folles les unes que les autres chaque jour, mais j’en avais assez de devoir rattraper le temps que j’avais perdu en croupissant dans cette satanée prison… J’avais vraiment tout perdu, je regrettais chaque jour que nous nous étions faits prendre… Qui avait bien pu nous dénoncer ? Ce n’est pas comme si nous n’avions pas été discrets lors de ce trafic… Pff… Pourvu qu’un jour, il revienne. Qu’est-ce qu’il me manque ! Enfin, là je n’étais plus vraiment d’humeur à travailler, il fallait que je ferme le club bientôt, j’envisageais bien de rentrer avec mon ami. Qui aurait cru que je deviendrais amie avec un Marshall ? J’avais peur de décevoir Cooper à propos de ça… Nous qui avions fait tant d’efforts pour contourner la loi, et moi je m’envoyais en l’air avec ! Je suis persuadée qu’à son retour, si seulement il revenait, qu’il serait capable de se battre avec lui à cause de ce mélange de chose qui ne lui plait pas.

Heureusement qu’il venait ici de temps en temps après son boulot, au moins, l’ambiance pouvait le détendre ! J’étais toujours contente de le voir, c’est tellement agréable d’avoir de si bons amis après tout ça… ! Il me retournait la question et je ne savais encore pas trop quoi lui répondre à part « rien ». Quelle situation pathétique… Bon, il fallait que je me divertisse. Je lui faisais signe que je revenais et allais annoncer la fermeture du club pour cette nuit pendant que les clients contestaient, tant pis pour eux. La plupart était bien trop ivre pour danser jusqu’au lever du Soleil. Je lui annonçais soulagée alors que les fêtards déguerpissaient au fur et à mesure.

« Me revoilà ! Eh bien… Rien d’intéressant… »

Je ne savais pas trop quoi lui conseiller pour casser sa routine, je n’ai pas vraiment d’idée à part de lui proposer de me raccompagner tout en sachant pertinemment ce qu’on ferait, pour changer. Il faut avouer que ça me défoulerait de finir la nuit avec lui… ! Je n’avais pas que ce genre de désirs à assouvir, mais aussi celui de me confier… C’était vraiment difficile d’être loin de Cooper, de ne pas savoir où il était, ce qu’il faisait, qui il fréquentait ou bien s’il m’aimait encore…

« Enfin si… J’aurais besoin de te confier quelques trucs… Tu veux bien me raccompagner ? »

Je doutais qu’il refuse alors j’allais chercher mes affaires et mettais ma veste sur mes épaules. J’attendais qu’il atteigne la porte pour mettre le système d’alarme en marche. J’attendais qu’il poursuive alors que nous marchions dans la rue jusqu’à chez moi. Il faisait froid, ça changeait vraiment de la température qu’il faisait dans le club… !

Spoiler:

***➝ messages d'Iris :*** 50 ***➝ revenu sur terre le :*** 01/04/2013

Elle me passait une autre bière, me disant que c'était cadeau. Je lui fis un sourire pour la remercier, j'avais besoin de bière, c'était mon petit péché mignon en réalité. La plupart des gens dans ce club préférait boire des shots de vodka, du whisky. Moi, je préférais rester fidèle à la bière. Avant qu'elle ne me réponde au retour de sa question, mademoiselle Parker me demandait d'attendre d'un signe. Elle s'approcha des gens qui dansaient, leur annonçant que le club n'allait pas tarder à fermer. Les clients rouspétaient, et c'était bien normal. Faut dire qu'on ne fermait pas un club aussi tôt, mais il fallait comprendre. Emilia était seule à gérer le club, et c'était quasiment impossible en fait. Et, elle revint vers moi. Là, elle me répondit alors qu'elle n'avait rien d'intéressant à raconter. Bon, c'était comme d'habitude, mais au final elle avait souvent quelque chose à me dire. Elle rajouta alors que finalement elle avait des choses à me raconter, et me demanda si j'acceptai de la raccompagner. Je fis un sourire, lui répondis : « Bien sur. Et puis, on habite à côté. ».

Je mis ma veste en cuir sur moi, et m'en alla vers la porte alors que Emilia mettait le système de sécurité en marche. Attention aux voleurs. Bref, nous marchions dans la rue, il faisait un peu frisqué, mais bon c'était normal, on venait de sortir du club où la température tournait autour des vingt degrés. « Tu dois êtres bien fatigué ou préoccupé pour fermer aussi tôt, non ? », lui demandais-je. Plus pour faire la conversation qu'autre chose. Les rues étaient vide, j'avais vraiment l'impression d'etre seul avec elle.

***➝ messages d'Iris :*** 234 ***➝ revenu sur terre le :*** 12/03/2013

J’étais soulagée lorsqu’il accepta de me raccompagner chez moi, je l’en remerciais immédiatement. Les rues n’étaient pas sûres la nuit, et même si je savais me défendre, sa présence ne serait pas de trop. Je pense que si je n’avais plus de sentiments pour Cooper, je serais probablement tombée amoureuse de lui. Il était parfait ! Cooper aussi dans un sens, même si j’avais connaissance de ses nombreux défauts, je ne l’en aimais pas moins. Il faut dire que j’étais tombée sous son charme si tôt… C’est vrai qu’en fait, on n’habitait vraiment pas loin l’un de l’autre, mon ami et moi. C’était un sacré avantage pour se voir plutôt que de traverser tout New York dès qu’on avait envie de boire un verre ensemble ou faire je ne sais quoi d’autre.

Il avait pris soin de mettre sa veste en cuir avant que nous sortions dans le froid. J’avais l’impression que j’allais me choper je ne sais quoi à cause de cette saloperie de température. J’aurais dû prendre ma veste en cuir aussi mais c’était trop tard. Nous avions déjà pas mal progressé pour arriver jusqu’à chez moi. Je me sentais vraiment rassurée d’avoir un homme à mes côtés en ce moment. Dans le quartier, on pouvait se faire agresser sans que personne ne le remarque. Quel monde de fous ! Je restais silencieuse pendant le trajet et il me demandait si j’étais fatiguée ou préoccupée pour fermer le club aussi tôt. Décidément, il me connaissait bien. A vrai dire, là c’était un mélange des deux… Je ne savais pas trop par où commencer…

Heureusement, nous étions arrivés devant l’immeuble. C’était un bâtiment ni trop riche, ni trop pauvre. Il abritait des appartements appartenant principalement à la classe moyenne. Chacun des logements comportait au moins deux chambres, un séjour, une cuisine et une salle de bain. De plus, c’était assez spacieux et les voisins n’étaient pas désagréables, ni trop bruyants. C’était mieux que ma cellule, y a pas de doute là-dessus… ! J’entrais le code, puis nous franchissions la porte pour ensuite accéder à l’ascenseur. J’appuyais sur le bouton menant au troisième étage et nous étions arrivés en quelques secondes. Je n’avais pas besoin de lui indiquer la direction de mon appartement étant donné qu’il y était venu quelques fois. Je sortais les clés de mon sac et ouvrais la porte. Je lui proposais de prendre sa veste alors que je posais la mienne sur un cintre. Je l’invitais à faire comme chez lui, enfin il avait l’habitude.

« Tu veux boire quelque chose ? J’ai un peu de tout, comme d’hab’. »

J’attendais qu’il me dise ce qu’il prenait puis je le rejoignais, un gin tonic à la main. Ce n’est pas raisonnable mais qu’est-ce que je m’en fiche ! Je ne suis pas à un écart près… Je me vautrais dans le canapé : qu’est-ce que c’était bon de se poser après une soirée comme celle-ci ! J’étais vraiment crevée, enfin j’allais tenir le coup pour passer du temps avec mon ami. Ça me ferait le plus grand bien de discuter avec lui.*

« Effectivement, je suis complètement claquée… Pas mal d’employés n’ont pas daigné se pointer ce soir alors… »

Il ne valait mieux pas que je lui dise que je m’étais pris « un petit remontant » pour être en forme jusqu’à la fermeture du club. C’était vraiment une idée stupide, vu l’état dans lequel j’étais désormais…

« Ouais, comme tu disais tout à l’heure, je suis aussi pas mal préoccupée par un truc… Ou plutôt par quelqu’un mais ça fait assez longtemps que ça dure en fait, et j’en ai assez. »

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[PV Enée] On est des « sex friends », des amis qui couchent ensemble.

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